Résumé : Musique

Certaines chansons, comme « Hung up », peuvent inhiber la production d’hormones liées à l’humeur.
Le Canon de Pachelbel comporte des notes correspondant aux fréquences d’acides aminés, ayant un impact positif sur le métabolisme.
La musique peut également influencer les animaux, avec des préférences musicales variées.
Les effets de la musique sur la santé et le bien-être restent un domaine de recherche en évolution constante.

Musique : Son influence sur la Vie, vos Emotions, la Santé

La musique de variété la plus néfaste pour la santé

Le tube « Hung up » repris par Madonna, les Bee Gees, Britney Spears et d’autres, présente une particularité intrigante. Il a été découvert que cette chanson est construite sur des bases similaires à la musique du Canon de Pachelbel, mais avec un effet potentiellement négatif sur les hormones humaines.

Plus précisément, cette mélodie semble inhiber la production de trois hormones spécifiques chez l’être humain :

La sérotonine, qui équilibre le sommeil, l’appétit et l’humeur.
La norépinephrine ou noradrénaline, responsable de la gestion de l’attention et du sommeil.
La dopamine, qui régule l’humeur et la motivation.

Ces trois hormones sont étroitement liées à la dépression, car leur production est souvent altérée chez les personnes atteintes de cette condition.

De plus, il est noté que cette chanson contient plusieurs messages subliminaux, dont le mot « suicide » en anglais, répété à des moments spécifiques. En outre, le fait que Madonna apparaisse dans le clip en tenue de sport, ce qui est généralement associé à la libération de dopamine due à l’exercice physique, peut induire en erreur.

Il est intéressant de noter que le clip lui-même semble stimuler ces trois hormones tout en donnant l’impression d’être positif. Des recherches comparatives ont même été menées pour étudier les similitudes entre les mélodies du Canon de Pachelbel et de « Hung up ». Cependant, il est important de souligner que de telles observations et interprétations nécessitent une analyse approfondie et sont sujettes à des débats dans le domaine de la psychologie et de la musique.

Chanson Hung up

Il existe une théorie selon laquelle certaines compositions musicales, comme celles de Johann Sebastian Bach, peuvent avoir un impact positif sur notre physiologie et notre bien-être. Cependant, il est important de noter que la recherche sur cette question est encore en cours, et les conclusions restent souvent sujettes à débat.

L’idée que la musique puisse influencer notre état émotionnel et notre physiologie est bien établie. Certaines musiques peuvent évoquer des émotions, induire la relaxation ou stimuler notre énergie. Cependant, la relation entre la musique et la nutrition des acides aminés dans notre corps est une question plus complexe et moins étudiée.

Le pouvoir de la musique sur notre bien-être varie d’une personne à l’autre, et la réaction à la musique est souvent subjective. Bach est souvent cité comme un compositeur dont la musique est considérée comme apaisante et émotionnellement enrichissante par de nombreuses personnes. Cependant, il est important de se rappeler que la réponse à la musique est personnelle et peut être influencée par de nombreux facteurs, notamment l’éducation musicale, l’expérience personnelle et la culture.

En fin de compte, la musique peut certainement avoir un impact sur notre état émotionnel et mental, mais les affirmations spécifiques concernant son influence sur les acides aminés dans notre corps nécessitent des recherches plus approfondies pour être pleinement comprises et acceptées dans la communauté scientifique.

La musique la plus bénéfique pour votre santé

Cette découverte concernant le Canon de Pachelbel est fascinante. Selon les recherches menées par un chercheur finistérien, cette composition musicale, datant du XVIe siècle, présente des caractéristiques remarquables.

Il semble que cette musique relaxante soit composée de huit notes, correspondant précisément aux fréquences d’activité des huit acides aminés essentiels chez l’homme. Chaque acide aminé aurait sa propre fréquence d’oscillation, se fixant sur le ribosome des cellules.

Ces huit notes essentielles seraient intégrées dans notre chaîne polypeptidique, qui est essentielle pour la formation des protéines. L’écoute de cette musique aurait la capacité de pénétrer notre corps et de stimuler l’activation de la protéine GTPase. Cette activation permettrait aux circuits enzymatiques de réguler divers aspects du métabolisme, y compris des fonctions telles que la gestion de la température corporelle, la digestion, et le rythme cardiaque, entre autres.

Le Canon de Pachelbel est ainsi décrit comme extraordinaire, apportant du bien-être quel que soit le moment où on l’écoute. Il est même adapté en plusieurs couplets avec des rythmes différents. Les basses, avec leurs fréquences de résonance spécifiquement choisies par Pachelbel, viendraient conforter le thème initial en harmonisant les fréquences. Selon cette théorie, la protéine influencée par cette musique produirait un puissant effet anti-stress pour l’homme.

En conclusion, il est recommandé d’écouter cette composition musicale aussi souvent que possible pour ressentir ses bienfaits. Cette découverte souligne le potentiel de la musique en tant qu’élément influençant positivement notre bien-être et notre physiologie.

Mélodie de Canon Bachabelbel :

L’impact de la musique sur votre aura

Il est bien connu que la musique a un impact significatif sur l’humeur et le comportement des êtres humains, ainsi que sur les animaux et même les plantes. Elle a le pouvoir de susciter des émotions, d’induire la relaxation ou de stimuler l’énergie. Cependant, il est intéressant de noter que la musique peut également interagir avec l’eau présente dans nos corps.

Le Dr. Luc Montagnier, dans le chapitre mentionné, semble suggérer que l’eau qui constitue une partie importante de notre composition corporelle peut être influencée par la musique. Cette idée découle peut-être de la théorie selon laquelle l’eau a la capacité de « mémoriser » des informations ou des vibrations auxquelles elle est exposée. Cette théorie est parfois associée à la notion de « mémoire de l’eau » développée par le chercheur Jacques Benveniste.

Selon cette perspective, la musique pourrait donc agir sur l’eau présente dans notre corps, modifiant ses propriétés ou transmettant des vibrations qui pourraient avoir un impact sur notre bien-être. Cependant, il est important de noter que cette théorie est controversée et n’a pas été largement acceptée dans la communauté scientifique. La recherche sur ce sujet est encore en cours, et il existe des débats sur la validité de ces concepts.

En fin de compte, la relation entre la musique, l’eau et ses effets sur notre santé et notre comportement reste un domaine d’étude fascinant, mais complexe, nécessitant des recherches approfondies pour mieux comprendre ses mécanismes et son potentiel impact.

Les basses fréquences utilisées pour créer des maladies

Le papier intitulé « DNA Waves and Water » publié par le Dr. Luc Montagnier et d’autres chercheurs en 2010 explore des phénomènes liés aux ondes électromagnétiques de basse fréquence induites par certaines séquences d’ADN bactériennes et virales dans des dilutions aqueuses élevées. Ces ondes semblent être générées en réponse au bruit de fond électromagnétique ambiant à très basse fréquence. Le document propose une interprétation de ce phénomène dans le contexte de la théorie quantique des champs.

Plusieurs aspects de cette recherche peuvent être interprétés de manière controversée. La notion selon laquelle des ondes de basse fréquence pourraient influencer l’eau et son contenu génétique ouvrent la voie à des discussions sur les applications potentielles de cette découverte. Cependant, il est important de noter que cette recherche est encore en cours et que ces conclusions n’ont pas été largement acceptées par la communauté scientifique.

L’idée que certaines ondes pourraient être utilisées pour influencer des maladies spécifiques chez l’homme est une hypothèse intrigante. Cependant, elle nécessiterait une recherche supplémentaire approfondie et des preuves solides pour être confirmée. Pour l’instant, ces concepts relèvent davantage du domaine de la théorie que de la pratique médicale établie.

Il est important de suivre les développements de la recherche scientifique dans ce domaine pour mieux comprendre les implications potentielles de ces découvertes, mais il est également essentiel de maintenir un esprit critique et de s’appuyer sur des preuves scientifiques solides avant de tirer des conclusions définitives.

L’impact de la musique sur Alzheimer

En 2013, l’Inserm a initié la réalisation de la série Les allegros d’Alzheimer pour comprendre l’influence de la musique sur le cerveau, que vous pouvez visualiser ici.

Quand la musique remplace les pesticides dans l’agriculture

L’utilisation de la musique pour soigner les cultures agricoles est devenue une pratique de plus en plus courante parmi les agriculteurs, et elle suscite désormais l’intérêt des scientifiques.

Un exemple frappant vient d’un agriculteur des Bouches-du-Rhône, qui a réussi à sauver ses cultures de courgettes d’une grave infestation du virus de la mosaïque. Cette infection touchait initialement 40 hectares sous serre et 50 hectares en plein champ, et une catastrophe semblait inévitable. Cependant, en utilisant la musique comme solution, cet agriculteur a obtenu des rendements très satisfaisants.

Ce n’est pas n’importe quelle musique qui a été utilisée, mais plutôt une musique spécifiquement composée en fonction de la plante et de la maladie en question. Cette approche s’inspire des théories du physicien Joël Sternheimer.

L’idée sous-jacente est que la musique, lorsque composée de manière appropriée, peut avoir un impact positif sur la croissance et la santé des plantes, agissant comme une sorte de traitement naturel. Bien que cette pratique puisse sembler inhabituelle, elle gagne en crédibilité grâce aux succès obtenus par certains agriculteurs.

Les résultats obtenus dans ce domaine suscitent un intérêt croissant de la part des scientifiques, qui cherchent à comprendre les mécanismes sous-jacents de cette approche et à déterminer si elle peut être utilisée de manière plus répandue pour améliorer la santé des cultures et réduire la dépendance aux produits chimiques.

Une mélodie composée à partir du chant des protéines : quand la musique soigne les plantes

Lors du processus de synthèse des protéines, les acides aminés produiraient des notes ou des fréquences spécifiques, créant ainsi une mélodie unique pour chaque protéine. Cette idée est à la base des théories mises en application par Genodics, une entreprise spécialisée dans ce domaine.

Selon Pedro Ferrandiz, cofondateur de Genodics, il est nécessaire de connaître les protéines liées à la pathologie que l’on souhaite combattre, d’isoler ces protéines, puis de découvrir les « chants » ou fréquences associées à ces protéines pour influencer leur synthèse de manière à traiter la maladie.

Les « notes » ou fréquences seraient générées par la « succession des accrochages d’acides aminés » qui se produisent lors de la synthèse d’une protéine. Les mélodies créées à partir de ces fréquences, appelées protéodies (un mélange des mots « protéines » et « mélodies »), seraient utilisées en agriculture pour influencer la synthèse des protéines pertinentes. Ces protéodies ont la capacité d’inhiber ou de stimuler la synthèse des protéines en question.

De cette manière, elles luttent contre la maladie en inhibant l’agent pathogène responsable et/ou en renforçant le système immunitaire de la plante, parfois les deux à la fois. L’objectif n’est pas d’éliminer l’agent pathogène comme le font les pesticides, mais de rétablir un équilibre, de sorte que la maladie soit neutralisée de manière naturelle.

L’Inra s’intéresse à la musique qui soigne les plantes

La méthode inspirée des théories du physicien Joël Sternheimer semble donner des résultats encourageants. Sur l’exploitation agricole de Gilles Josuan, bien que le virus soit toujours présent, il est désormais inhibé par la musique, ce qui le rend inoffensif pour les légumes, qui peuvent être à nouveau vendus. Gilles Josuan a suivi la procédure en diffusant chaque nuit de 5 à 7 minutes de musique ciblée, et il récolte maintenant entre 600 et 700 tonnes de légumes par an.

À ce jour, la société Genodics a apporté son aide à plus de 130 agriculteurs pour lutter contre des pathologies menaçant leurs récoltes. Même si la validité scientifique de cette méthode n’est pas encore prouvée de manière concluante, l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) montre de l’intérêt pour cette approche.

L’Inra reconnaît que les plantes sont sensibles aux sons et envisage de mener des expérimentations pour mieux comprendre les effets de la musique sur la croissance et la santé des plantes. Cela montre que cette méthode suscite l’attention et pourrait éventuellement devenir une alternative plus écologique aux traitements chimiques en agriculture.

Les préférences musicales des animaux : ce que les chats, chiens, vaches et chevaux aiment écouter

Les chiens aiment-ils vraiment le piano ? Préférences musicales canines

Les chiens et les chats ont des préférences musicales différentes en fonction de leur physiologie et de leur comportement social. Le rythme cardiaque des chats étant plus rapide que celui des chiens, ils ont tendance à apprécier les musiques avec des cadences enlevées et des notes aiguës. Les chats préfèrent généralement un rythme plus rapide comme le rock endiablé plutôt qu’un slow langoureux. Cependant, il est essentiel que la musique ne soit pas trop forte, car les chats sont sensibles au volume sonore.

En revanche, les chiens ont des goûts musicaux plus variés. Certains chiens apprécient la musique classique, tandis que d’autres sont indifférents à ce genre musical. Les préférences musicales des chiens semblent dépendre de leur taille, car les gros chiens, ayant une gamme de fréquences vocales plus proche de celle d’un adulte humain, sont plus enclins à apprécier la musique humaine. Les chiens de plus petite taille, comme les chihuahuas et les teckels, aux aboiements plus aigus et au rythme cardiaque plus rapide, peuvent réagir différemment à la musique.

Il existe même des musiciens qui composent spécialement des airs destinés à apaiser les chiens, comme le groupe « Canine Lullabies ». Pour déterminer quelles musiques relaxent les chiens, des études ont été réalisées. Par exemple, une étude de 2010 a montré que la musique classique avait un effet calmant sur les chiens, tandis que des genres musicaux plus bruyants, tels que le heavy metal, pouvaient les rendre agités ou agressifs. Ainsi, la musique semble avoir un impact sur le comportement des animaux de compagnie, et certains genres musicaux peuvent les apaiser ou les perturber.

Mozart, la musique préférée des vaches

Il est fascinant de constater comment la musique peut avoir un impact sur la production laitière des vaches. Différentes études ont montré que la musique peut influencer la quantité de lait produite par les vaches laitières. Cependant, les préférences musicales des vaches semblent varier d’une région à l’autre.

En Allemagne, par exemple, il a été constaté que les vaches laitières produisent plus de lait en écoutant la « Petite Musique de Nuit » de Mozart. De plus, des massages semblent améliorer encore davantage les rendements laitiers. En revanche, on ne dispose pas d’études spécifiques expliquant pourquoi les vaches allemandes préfèrent Mozart à d’autres compositeurs.

En ce qui concerne les vaches péruviennes, elles semblent préférer la musique de Vivaldi. L’Université de Leicester en Angleterre a également mené une étude qui a montré que les vaches écoutant la « Symphonie Pastorale » de Beethoven produisaient légèrement plus de lait que celles exposées à la musique des Beatles. Cependant, il semblerait que les vaches aient une aversion marquée pour le punk et le hard rock.

Il est important de noter que bien que ces résultats puissent sembler amusants, la manière dont la musique affecte la production laitière des vaches n’est pas entièrement comprise. Il est possible que la musique apaise les vaches ou réduise leur stress, ce qui pourrait avoir un impact positif sur leur production laitière. Mais les raisons exactes restent un mystère.

La musique pour chevaux reste à inventer

Les préférences musicales des chevaux semblent également varier considérablement en fonction de leur race et de leur tempérament. On a observé que différentes races de chevaux réagissent différemment à la musique.

Les pur-sang arabes, par exemple, semblent danser en rythme au son des tambours. Les chevaux ibériques, comme ceux appréciant le Flamenco, réagissent positivement à ce genre de musique. Les célèbres lippizans de l’École Espagnole de Vienne semblent être inspirés par les valses de Strauss.

La chanteuse et cavalière américaine Jeane Manson, qui présente des spectacles équestres musicaux, soutient que la musique aide les chevaux à s’entraîner.

Cependant, une étude menée par des chercheuses en éthologie équine à l’Université d’Hartpury en Angleterre a révélé que les réactions des chevaux à la musique variaient en fonction du genre musical. Les chercheuses ont fait écouter du classique, de la musique country, du jazz et du rock à des chevaux, puis ont observé leurs réactions. Elles ont constaté que le classique avait tendance à apaiser les chevaux, tandis que le jazz et le rock les agaçaient ou les inquiétaient. Cependant, la plupart des chevaux semblaient se détendre davantage en revenant au silence.

Il semble donc qu’il n’existe pas encore de musique spécialement conçue pour les chevaux, et les réponses individuelles des équidés à la musique varient considérablement. Il reste encore beaucoup à découvrir sur cette interaction entre la musique et les chevaux.

Source:

http://ageac.org/fr/nouvelles/la-revolution-de-la-musique-a-432-hertz-et-l-adn/
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/etonnant/article/432-hz-la-frequence-du-coeur-170664
http://terrevivante.e-monsite.com/pages/les-ondes-electromagnetiques.html
https://www.bioaddict.fr/article/quand-la-musique-remplace-les-pesticides-a5851p1.html
https://www.psychologies.com/Planete/Les-animaux-et-nous/Articles-et-Dossiers/Chats-chiens-vaches-chevaux-La-musique-qu-ils-aiment/13La-musique-pour-chevaux-reste-a-inventer