Résumé : sans chirurgiePhakyab Rinpoche Guéri sans chirurgie

  • 🧘 Il refuse l’amputation et guérit seul par la méditation : découvrez le parcours incroyable d’un moine tibétain entre gangrène, tuberculose osseuse et renaissance intérieure.

  • 🔬 Une guérison défiant la médecine moderne : des chercheurs du MIT s’interrogent face à l’effacement complet de maladies réputées incurables, sans intervention chirurgicale.

  • 🌬️ 3 ans de retraite dans un appartement new-yorkais : yoga tibétain, souffle et mantras… un combat spirituel contre la douleur et la mort.

  • 🧠 Quand neurosciences et sagesse millénaire se rencontrent : comment la méditation transforme le cerveau, le corps… et peut-être, la médecine de demain.

Guéri sans chirurgie : le pari fou d’un moine tibétain

1. Un parcours hors du commun

Phakyab Rinpoche naît en 1966 dans la région montagneuse du Kham, à l’est du Tibet. Dès son plus jeune âge, il est reconnu comme un tulku, c’est-à-dire la réincarnation d’un maître spirituel. Il entre en monastère à 13 ans et suit un parcours d’étude rigoureux au sein des plus prestigieux monastères bouddhistes. Sa sagesse et son engagement l’amènent à devenir abbé du monastère d’Ashi, un poste de grande responsabilité dans la tradition tibétaine.

Mais sa trajectoire prend une tournure dramatique en l’an 2000. En raison de son influence spirituelle, il est arrêté par les autorités chinoises dans un climat de forte répression religieuse. Il est emprisonné, sans procès, dans des conditions extrêmement difficiles.

Une maladie qui empire

Pendant sa détention, il développe une grave infection au pied droit. Faute de soins médicaux, celle-ci évolue en gangrène, une nécrose douloureuse et dangereuse. À sa libération, son corps est affaibli, mais il garde en lui une foi intacte.

En 2003, il fuit son pays natal pour s’exiler aux États-Unis, dans l’espoir de se reconstruire. Il s’installe à New York, mais ses ennuis de santé ne cessent de s’aggraver. Il souffre d’un diabète sévère, qui ralentit la cicatrisation et épuise son système immunitaire. Bientôt, le diagnostic tombe : il est également atteint d’une tuberculose osseuse — connue sous le nom de mal de Pott — une maladie rare et invalidante qui attaque les vertèbres et la colonne vertébrale.

L’avis des médecins : amputation

Face à l’urgence, il consulte trois chirurgiens réputés à New York. Tous sont unanimes : il faut amputer le pied atteint pour empêcher la gangrène de se propager au reste du corps.
Selon eux, aucun traitement naturel ou spirituel ne pourra arrêter la dégradation des tissus. L’amputation semble la seule issue pour sauver sa vie.

Mais Phakyab Rinpoche refuse cette solution. Il ressent au plus profond de lui que cette décision va à l’encontre de sa voie spirituelle. Ce n’est pas par orgueil, ni par peur, mais par une conviction intérieure profonde que son corps est capable de se régénérer s’il retrouve l’unité avec l’esprit.

Le conseil du Dalaï-Lama

Ne sachant que faire, il s’adresse alors à Sa Sainteté le Dalaï-Lama pour obtenir conseil. Le message qu’il reçoit est limpide et bouleversant :

« Tu dois guérir avec ta propre sagesse intérieure. Utilise la pratique. »

Ce message change tout. Phakyab comprend que son chemin ne passe pas par l’hôpital, mais par une retraite spirituelle, centrée sur les techniques millénaires de guérison du bouddhisme tibétain.
Contre l’avis des médecins, il refuse l’amputation et choisit de se soigner par la méditation.

2. Tsa Lung, yoga et mantra : trois ans de transformation intérieure

Installé dans un petit appartement modeste à New York, Phakyab Rinpoche entre dans une retraite spirituelle solitaire qui durera près de trois ans. Sa chambre devient un sanctuaire. Son corps, un temple. Sa douleur, un maître.

Une discipline rigoureuse

Chaque jour, il consacre entre 8 et 12 heures à des pratiques spirituelles précises et intenses. Il s’immerge entièrement dans le Tsa Lung, une pratique ancienne du yoga tibétain, axée sur la respiration, le travail des énergies subtiles (prana) et la purification des canaux énergétiques internes (tsa).
Cette technique ancestrale vise à dissoudre les blocages énergétiques à l’origine de la maladie et à restaurer l’équilibre vibratoire du corps.

À cela s’ajoutent des visualisations de lumière, des prières de purification, des récitations de mantras sacrés — dont celui de Hayagriva (protecteur féroce contre les maladies karmiques) et du Bouddha de Médecine, invoqué pour ses qualités de guérison. Il fait aussi régulièrement des offrandes, en signe de gratitude et d’ouverture du cœur.

Corps, souffle, esprit en unité

Son alimentation est extrêmement frugale, basée sur des aliments simples, faciles à digérer, parfois à peine suffisants pour survivre. Mais il est clair pour lui : le véritable carburant vient du souffle et de l’esprit.

Jour après jour, Rinpoche affine son écoute intérieure. Il observe les messages du corps, la douleur qui se déplace, les émotions qui remontent, les résistances qui cèdent.
Il ne cherche pas à fuir la souffrance, mais à l’embrasser avec conscience, dans un esprit de paix. Il transforme chaque contraction en prière vivante, chaque respiration en mouvement de lumière.

« Chaque cellule, chaque organe est devenu un autel à la guérison. »

Une guérison progressive et réelle

Les effets de cette discipline sont lents, mais profonds. Après environ neuf mois, le liquide gangréné qui suintait de son pied devient transparent. Les douleurs s’apaisent, et il commence à retrouver une certaine mobilité.

Au bout d’un an, miracle : il marche sans béquilles, alors que les médecins pensaient que sa jambe était définitivement perdue.

Sa tuberculose osseuse, réputée incurable sans traitement lourd, montre une amélioration progressive. Son diabète, bien que toujours présent, se stabilise, sans intervention médicale.

Il continue sa retraite encore deux années supplémentaires, renforçant chaque jour sa lien à l’énergie de vie. Non seulement son corps guérit, mais sa conscience s’élargit : il dit avoir vécu des états de clarté mentale, de lumière intérieure et d’expansion spirituelle.

3. Une guérison que la médecine juge exceptionnelle

Lorsque le cas de Phakyab Rinpoche commence à être connu, plusieurs professionnels de santé s’y intéressent de près. Parmi eux, le Dr Lionel Coudron, médecin traumatologue à Paris et spécialiste du yoga-thérapie, se dit profondément impressionné. Il parle d’un :

« Phénomène d’une puissance exceptionnelle, qui dépasse tout ce que la médecine conventionnelle aurait pu envisager, même avec une greffe osseuse complexe. »

Ce qui frappe les médecins, c’est la complète disparition des lésions liées à une gangrène avancée, sans chirurgie, ni antibiotiques lourds. Une condition normalement irréversible, surtout lorsque combinée à un diabète non traité et une tuberculose osseuse sévère (mal de Pott).

La clé, selon eux ? Une discipline spirituelle continue et un entraînement méditatif intensif, accumulant plus de 80 000 heures de pratique dans sa vie. Rinpoche pratiquait déjà les exercices de Tsa Lung depuis son adolescence, ce qui laisse supposer que son système énergétique était déjà très affiné. Cette expérience montre que la guérison profonde peut venir de l’intérieur, à condition d’y consacrer tout son être.

4. Aux frontières des sciences modernes

Cette guérison hors-norme suscite aussi l’intérêt de chercheurs américains, notamment le Dr William C. Bushell, affilié au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et à la Tibet House US, un centre culturel soutenu par le Dalaï-Lama.

Le Dr Bushell et son équipe ont étudié le cas de Phakyab Rinpoche à l’Université de New York (NYU). Leur objectif : comprendre les mécanismes neurophysiologiques et cognitifs impliqués dans cette transformation. Selon eux, cette expérience prouve qu’une synergie corps-esprit, fondée sur des pratiques méditatives ancestrales, peut dépasser les limites connues de la médecine occidentale, notamment dans le traitement :

  • des inflammations chroniques,

  • des affections auto-immunes,

  • ou des pathologies dégénératives comme la tuberculose osseuse.

Ils insistent sur le fait que les pratiques de Rinpoche ne sont pas simplement spirituelles ou religieuses : ce sont des technologies internes de transformation qui combinent respiration, visualisation, attention, et alignement énergétique.

En clair : la médecine moderne est face à une réalité nouvelle, à la frontière entre science, conscience et énergie.

5. Méditation & neurosciences : vers un pont entre traditions

Au-delà du cas de Phakyab, les recherches en neurosciences sur la méditation se multiplient depuis une vingtaine d’années. Une méta-analyse récente portant sur 78 études d’imagerie cérébrale a montré que la méditation modifie :

  • l’activité neuronale,

  • la structure du cortex préfrontal (zone de la concentration et de l’empathie),

  • ainsi que les circuits de la régulation émotionnelle.

D’autres études ont révélé que la méditation améliore la variabilité du rythme cardiaque (signe de santé physiologique), diminue les marqueurs d’inflammation, et ralentit certains processus liés au vieillissement cellulaire.

La méditation devient alors un véritable outil de transformation biologique, capable de renforcer l’immunité, d’améliorer le sommeil, et de moduler les douleurs chroniques.

Pour des traditions comme le bouddhisme tibétain, ce n’est pas une surprise. Cela confirme ce qu’ils enseignent depuis des siècles : l’esprit influence la matière. Le corps humain, loin d’être un simple assemblage mécanique, est un champ énergétique intelligent, façonné par nos pensées, nos émotions et notre souffle.

6. Un enseignement spirituel vivant

Aujourd’hui, Phakyab Rinpoche ne se contente pas de témoigner de sa guérison. Il en a fait une voie de transmission vivante, accessible à toutes les personnes en quête de sens ou de mieux-être. Il enseigne à travers plusieurs centres spirituels à New York, en France, en Inde, et ailleurs dans le monde.

Ses retraites sont centrées sur ce qu’il appelle : « la guérison de l’âme ». Cette approche unique repose sur l’union de trois dimensions fondamentales :

  • la médecine moderne, pour sa rigueur scientifique ;

  • l’intelligence intérieure, que chacun peut éveiller par la méditation, le souffle et l’auto-observation ;

  • et la compassion active, moteur du changement personnel et collectif.

Phakyab ne rejette pas la médecine occidentale, mais il insiste :

« Il y a en vous une force de transformation bien plus puissante que ce que vous croyez. »

Son enseignement invite à :

  • se reconnecter à son corps subtil,

  • écouter ses besoins réels,

  • libérer les charges émotionnelles ou karmiques,

  • et surtout, à cultiver une intention claire et bienveillante au quotidien.

Il rappelle que la guérison véritable ne dépend pas que des traitements, mais aussi de notre capacité à transformer nos pensées, à apaiser nos souffrances intérieures, et à retrouver la paix dans l’instant présent.

En somme, Phakyab Rinpoche nous offre un chemin d’unité entre science et sagesse millénaire, une invitation à redevenir acteur de notre propre guérison, avec conscience et amour.

Source : 

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