100 % vegan et sans poisson !
- 1700 mg d’oméga-3 (EPA & DHA) par dose journalière (4 capsules) sous forme de triglycérides
- DHA : 840 mg et EPA : 420 mg
- Huile végétale d’algue marine
- Culture non polluante et respectueuse de l’environnement
- Extrait de romarin comme antioxydant
- Sans reflux
- Idéal en voyage ou en déplacement
1700 MG D’OMÉGA-3 PAR DOSE JOURNALIÈRE
Une dose journalière de 4 capsules apporte 1700 mg d’acides gras oméga-3 marins EPA & DHA. Ainsi, Omega-3 Vegan Capsules permet à tous ceux qui veulent s’alimenter sans consommer de produits d’origine animale de bénéficier d’un apport suffisant en oméga-3 marins DHA et EPA indispensables à la santé et que l’organisme ne peut pas synthétiser.
COMPOSITION ET INFORMATIONS NUTRITIONNELLES
OMEGA 3 VEGAN CAPSULES
Ingrédients
Huile extraite de la microalgue Schizochytrium sp. à teneur élevée en DHA et EPA (72,6 %), amidon modifié de tapioca, agent humectant : glycérine, huile de tournesol (2%), arôme : extrait de romarin, antioxydants : extrait riche en tocophérols et palmitate d’ascorbyle.
Conseils d’utilisation
4 capsules par jour à prendre pendant ou après un repas. Une dose journalière contient 1700 mg d’acides gras oméga-3, dont 840 mg de DHA et 420 mg d’EPA. En respectant la dose recommandée, la boîte permet de tenir 20 jours.
Conservation
Les produits doivent être conservés à l’abri de la lumière directe du soleil et à une température ambiante stable.
Sans reflux désagréables
La qualité des matières premières est essentielle pour obtenir des produits de qualité. La qualité et la fraîcheur exceptionnelles de notre huile d’algue sont la raison pour laquelle Omega-3 Vegan Capsules ne provoque aucun reflux désagréable.
Avertissement
Ne pas dépasser la dose journalière recommandée sauf prescription contraire de votre médecin, pharmacien ou thérapeute. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Les compléments alimentaires ne se substituent pas à une alimentation variée et équilibrée ni à un mode de vie sain.
HUILE D’ALGUE OMEGA 3 VEGAN CAPSULES
Ou comment puiser les oméga-3 directement à la source ! En effet, on oublie souvent que si les poissons sont sources d’oméga-3 EPA et DHA, c’est parce qu’ils se nourrissent d’algues qui contiennent ces fameux acides gras EPA et DHA ! L’huile d’algue NORSAN provient de la microalgue Schizochytrium sp. qui est particulièrement riche, non seulement en DHA, mais aussi en EPA. L’huile d’algue NORSAN est 100 % végane !
Les microalgues marines qui servent à produire l’huile d’algue NORSAN sont cultivées dans des réservoirs d’eau de mer artificielle. Elles ne sont pas récoltées en mer, et ce, afin d’économiser les ressources marines et de préserver la base alimentaire des poissons. Le procédé de production de notre huile d’algue est donc durable et respectueux de l’environnement.
POURQUOI L’HUILE DE LIN SEULE NE SUFFIT PAS ?
L’EPA et le DHA sont présents dans les sources marines telles que les poissons, les algues et le krill. De nombreuses personnes pensent que si l’on ne consomme pas de poisson, il suffit de consommer certaines huiles végétales riches en oméga-3, comme l’huile de lin, l’huile de noix ou l’huile de chia. Mais ces huiles ne contiennent que l’acide gras oméga-3 végétal ALA (acide alpha-linolénique) mais pas d’EPA ni de DHA. Et cela ne suffit pas …
L’huile de lin est particulièrement riche en oméga-3. Elle en contient environ 55%.
Mais il existe plusieurs sortes d’oméga-3 :
- 1 acide gras oméga-3 végétal (ALA = acide alpha-linolénique) que l’on trouve dans l’huile de lin, mais aussi dans les noix, les graines de lin et les graines de chia.
- 2 acides gras oméga-3 marins (EPA = acide eicosapentaénoïque, DHA = acide docosahexaénoïque) que l’on trouve dans les poissons gras, les algues, et par extension dans l’huile de poisson et l’huile d’algue.
L’EPA et le DHA sont les deux acides gras oméga-3 les plus importants pour la santé. L’ALA étant un précurseur de l’EPA et du DHA il doit être converti par l’organisme en EPA ou en DHA. Malheureusement, le facteur de conversion n’est que de 0,5 à 10 % et dépend fortement du poids, du métabolisme et d’autres facteurs.
Les études scientifiques convergent largement vers la conclusion qu’un apport en ALA seul ne peut pas réguler un déficit en EPA et DHA.