Résumé : Graisses Sainesavocat

  • Les graisses saines sont essentielles pour la santé.
  • Les graisses saturées naturelles sont bénéfiques.
  • Les graisses insaturées transformées sont nocives.
  • Les sources de graisses saines incluent : Avocats, Viandes élevées en pâturage, Beurre, Jaunes d’œufs biologiques, Noix de coco, Noix et autres.

Graisses Saines : Clés d’une Bonne Santé

Ce que vous avez écrit semble présenter un point de vue qui remet en question la perception traditionnelle selon laquelle les graisses saturées sont toujours nocives pour la santé. Vous faites référence à des recherches récentes qui suggèrent que les graisses, y compris les graisses saturées, peuvent avoir des avantages pour la santé. Vous avez également mentionné le régime alimentaire des chasseurs-cueilleurs pour illustrer que les humains ont historiquement consommé des graisses saturées sans subir nécessairement de conséquences négatives pour leur santé.
Pour renforcer votre argument, vous pourriez inclure des exemples spécifiques de ces recherches récentes, ainsi que des données sur les régimes alimentaires des chasseurs-cueilleurs pour montrer comment ces modèles alimentaires pourraient influencer notre compréhension moderne de la nutrition. De plus, vous pourriez discuter des implications de ces découvertes pour les recommandations diététiques actuelles et la santé publique en général. En résumé, il semble que vous souhaitiez mettre en évidence une perspective alternative sur le rôle des graisses dans l’alimentation humaine et ses implications pour la santé.

Les graisses alimentaires saines sont indispensables pour vous.

Il peut être quelque peu déroutant de distinguer les graisses bénéfiques pour votre santé, donc permettez-moi d’apporter des éclaircissements. Les graisses saturées, présentes dans des aliments tels que le beurre, le fromage, le lait cru entier et les viandes grasses, sont en fait des graisses saines.
Cependant, il est crucial de rester vigilant vis-à-vis des huiles végétales hydrogénées et des huiles de graines, qui sont des graisses insaturées artificiellement transformées en graisses saturées. Ce processus crée ce que l’on appelle les gras trans, qui interfèrent avec vos récepteurs à l’insuline et augmentent les risques de développer des maladies chroniques telles que le cancer, les maladies cardiaques ou le diabète.
La diabolisation injuste des graisses saturées pendant de nombreuses années trouve son origine dans une étude biaisée menée par un scientifique influent mais mal avisé, le Dr Ancel Keys. Celui-ci a faussement associé une consommation élevée de graisses saturées à une augmentation des maladies cardiaques.
En vérité, ce ne sont pas les graisses saturées naturellement présentes dans les sources animales et végétales qui sont à blâmer, mais bien les gras trans que l’on trouve dans des produits de mauvaise qualité, tels que la margarine, les matières grasses végétales et les huiles végétales partiellement hydrogénées. Il est essentiel d’éviter ces graisses nocives à tout prix.

Pour assurer un apport équilibré en graisses saines, voici quelques sources recommandées à inclure dans votre alimentation :

  • Avocats
  • Viandes provenant d’animaux élevés au pâturage
  • Beurre provenant de vaches nourries à l’herbe, de préférence produit localement (comme la marque Kerrygold, disponible en épicerie)
  • Œufs biologiques, en particulier les jaunes
  • Noix de coco et huile de noix de coco
  • Beurre de cacao cru
  • Noix crues, telles que les noix de pécan et les noix de macadamia

D’après les recherches scientifiques les plus récentes, ces sources de graisses saines devraient constituer entre 50 et 85 % de votre apport énergétique total. Cependant, il est essentiel de garder à l’esprit que les graisses sont caloriques, donc lorsque vous composez vos repas, assurez-vous de privilégier une part importante de légumes dans votre assiette pour un équilibre nutritionnel optimal.

Glucides ou graisses : quels sont ceux qui provoquent vraiment la prise de poids ?

Pendant cinquante ans, les Américains ont reçu des conseils pour adopter une alimentation riche en glucides complexes et pauvre en graisses saturées. Même les diabétiques se sont vu recommander de consommer entre 50 et 60% de leur apport calorique quotidien sous forme de glucides, tandis que les aliments riches en graisses saines ont été évités en raison de préoccupations concernant leur impact sur la santé.

Cependant, cette approche alimentaire semble être en contradiction avec les besoins réels des personnes diabétiques, ainsi que de la population en général. En réalité, le passage à une alimentation davantage basée sur les céréales a été associé à une augmentation des taux d’obésité, de diabète et de maladies chroniques.

Ces conclusions ont été corroborées par une étude longitudinale menée sur une période de 14 ans auprès de 27 000 participants âgés de 45 à 74 ans. Cette étude a révélé que les personnes consommant quotidiennement huit portions de produits laitiers non dégraissés présentaient un risque de diabète réduit de 25 % par rapport à celles en consommant moins. De plus, une autre étude publiée en 2010 suggère que l’acide palmitoléique, naturellement présent dans les produits laitiers non dégraissés, pourrait protéger contre la résistance à l’insuline et le diabète.

Les graisses saines offrent une multitude de bienfaits essentiels pour notre santé :

  1. Fournissent des éléments constitutifs pour les membranes cellulaires, les hormones et les substances endocriniennes.
  2. Favorisent l’absorption des minéraux, notamment le calcium.
  3. Servent de transporteurs pour les vitamines liposolubles importantes telles que A, D, E et K.
  4. Facilitent la conversion du carotène en vitamine A, favorisant ainsi la santé des yeux et de la peau.
  5. Aident à réduire le taux de cholestérol, notamment grâce aux acides palmitique et stéarique.
  6. Ont des propriétés antivirales, notamment l’acide caprylique, qui peut contribuer à renforcer notre système immunitaire.
  7. Fournissent un carburant optimal pour le fonctionnement du cerveau et du cœur.
  8. Augmentent la sensation de satiété, ce qui peut aider à contrôler l’appétit et à maintenir un poids corporel sain.
  9. Modulent la régulation génétique et peuvent contribuer à la prévention du cancer, notamment grâce à l’acide butyrique.

Il est fondamental pour le bon fonctionnement cérébral d’utiliser des graisses saines comme source d’énergie. En réalité, votre cerveau ne peut pas fonctionner correctement sans ces graisses. À l’inverse, un excès de sucre et de céréales peut entraîner des dommages et des insuffisances neuronales, en grande partie parce que cet excès diminue la signalisation de la leptine, une hormone clé dans la régulation de l’appétit et du métabolisme.

Les acides gras oméga-3 jouent un rôle particulièrement important dans la santé optimale du cerveau. Malheureusement, peu de personnes en consomment suffisamment par leur alimentation, tandis que la consommation d’acides gras oméga-6 polyinsaturés est souvent excessive. Une carence en oméga-3 a en effet été identifiée comme un facteur sous-jacent majeur de 96 000 décès prématurés chaque année, faisant de cette carence la principale cause de mortalité aux États-Unis aujourd’hui.

Le problème réside en partie dans le déséquilibre entre la consommation d’acides gras oméga-6 (présents notamment dans les huiles végétales) et d’oméga-3 anti-inflammatoires. Il est recommandé de viser un ratio optimal oméga-6/oméga-3 de 1:1 dans votre alimentation. Pour y parvenir, il peut être nécessaire de réduire la consommation d’aliments riches en oméga-6.

Une stratégie simple pour maintenir ce ratio est d’incorporer régulièrement dans votre alimentation des poissons sains tels que le saumon d’Alaska, les sardines ou les anchois, qui sont peu contaminés par des toxines. Vous pouvez également envisager de prendre un supplément d’huile de krill. Les phospholipides présents dans l’huile de krill favorisent l’absorption des oméga-3, ce qui signifie que de plus petites quantités sont nécessaires.

De plus, l’huile de krill contient 50 fois plus d’astaxanthine que l’huile de poisson, un antioxydant qui protège les oméga-3 et prévient leur oxydation, favorisant ainsi leur absorption. Un avantage supplémentaire de l’huile de krill est qu’elle est moins susceptible de causer des renvois, contrairement aux suppléments d’huile de poisson.

Pour déterminer si votre apport en oméga-3 est adéquat, il est important d’être attentif aux signes d’une éventuelle carence. Voici quelques symptômes qui peuvent indiquer une carence en oméga-3 :

  • Confusion mentale
  • Dépression
  • Prise de poids
  • Ongles cassants
  • Allergies
  • Arthrite
  • Sommeil de mauvaise qualité
  • Troubles de la mémoire
  • Cheveux secs
  • Peau sèche
  • Troubles de la concentration
  • Fatigue

Si vous commencez à prendre de l’huile de krill et à augmenter votre consommation d’aliments riches en oméga-3, vous pourriez remarquer une amélioration de l’un ou de plusieurs de ces symptômes, ce qui constitue un signe positif indiquant que votre corps bénéficie de ces graisses essentielles. Cependant, il est toujours recommandé de consulter un professionnel de la santé si vous ressentez des symptômes persistants ou graves.

Il est important de surveiller attentivement votre consommation d’huile de krill, car une surdose peut entraîner le retour de symptômes indésirables. Si vous remarquez que vos symptômes réapparaissent sans raison apparente après avoir pris de l’huile de krill pendant un certain temps, cela peut signifier que vous en prenez trop. Dans ce cas, arrêtez de prendre l’huile pendant une courte période afin de permettre à votre corps d’éliminer l’excès, puis reprenez à un dosage plus faible.

Il est particulièrement important de noter que si vous êtes enceinte, vous devez veiller à consommer suffisamment d’oméga-3, car ces acides gras sont essentiels pour le développement cognitif et visuel de votre bébé. De plus, les oméga-3 jouent un rôle crucial après la naissance et pendant l’allaitement. Un faible taux d’oméga-3 est associé à un risque accru de dépression post-partum chez la mère, tandis qu’une supplémentation en oméga-3 précoce chez les nourrissons favorise le développement intellectuel.

Si vous ne consommez pas régulièrement des aliments riches en oméga-3 comme le saumon sauvage d’Alaska ou les sardines, il est recommandé de prendre un supplément d’huile de krill avant et pendant la grossesse, ainsi que pendant la période d’allaitement. Il est également bon de rappeler que les bébés reçoivent des acides gras oméga-3 DHA par le lait maternel, donc l’allaitement pendant au moins la première année de vie de votre enfant lui offrira un bon départ dans la vie en termes de nutrition.

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