Résumé : Canon de Pachelbelmusique-partition

  • Les protéodies sont des compositions musicales basées sur les fréquences émises lors de la synthèse des protéines à partir des acides aminés.
  • Le physicien Joël Sternheimer a établi le lien entre la musique et la biologie en créant des protéodies.
  • Les protéodies agissent par résonance, influençant la synthèse des protéines dans les organismes vivants.
  • Les protéodies peuvent renforcer la croissance des plantes, lutter contre les virus, et même avoir des applications potentielles pour la santé humaine.
  • La musique des protéodies ouvre des perspectives fascinantes sur notre compréhension du vivant, de l’univers, et du pouvoir de la musique sur la nature.

Canon de Pachelbel 432 Hz : Booste vos 8 acides aminés !

Notre planète, une minuscule sphère suspendue dans l’immensité de l’univers, cache encore d’innombrables mystères à explorer. Alors que certains pourraient croire que nous avons fait le tour de tout ce que la nature et le cosmos ont à nous offrir, cette idée est loin de la vérité.

De la mélodie des sphères à la musique des molécules, l’univers palpite d’une multitude de secrets fascinants, aussi bien dans l’immensité de l’infiniment grand que dans les mystères de l’infiniment petit, de l’invisible, et des phénomènes vibratoires de la matière. Parmi ces révélations remarquables, les protéodies émergent comme un exemple merveilleux, nous ouvrant une porte vers une compréhension plus profonde des phénomènes physiques et biologiques qui nous entourent.

Le terme “protéodies” a été forgé par le physicien Joël Sternheimer, qui a entrepris des recherches poussées en physique quantique et en sciences naturelles, notamment sur les fréquences émises lors de la synthèse des protéines à partir des acides aminés. En analysant ces séquences de fréquences, Sternheimer a découvert qu’elles suivaient une structure similaire à celle d’une gamme musicale.

Il a fallu une grande dose de créativité pour imaginer que des fréquences inaudibles par l’oreille humaine puissent être transformées en mélodies influençant les organismes vivants, agissant sur l’ADN et stimulant certains gènes. Les protéodies réalisent cette magie en transposant ces fréquences dans une plage audible par nos oreilles.

Ce qui est encore plus remarquable, c’est que ces mélodies ont le pouvoir de protéger les plantes des maladies en renforçant leur système immunitaire, en les rendant plus résistantes aux caprices climatiques, et même en améliorant leur rendement. Tout cela grâce à la diffusion de musique !

Cette découverte fascinante ouvre une perspective inédite sur notre compréhension du vivant, des lois fondamentales de l’univers, et des innombrables bienfaits de la musique qui peut agir jusque dans les tréfonds de nos cellules. En fin de compte, elle nous rappelle que, dans l’exploration infinie de la connaissance, il reste toujours plus de merveilles à découvrir.

Des protéines à la musique des acides aminés

Les protéines, qui constituent les éléments de base des cellules tant animales que végétales, sont formées à partir d’acides aminés qui s’assemblent pour former des structures complexes. Les acides aminés sont des composants fondamentaux de tous les processus vitaux et de notre métabolisme. Environ 20 % de notre corps est constitué de ces acides aminés, présents dans nos cellules, nos muscles et nos tissus. Il existe 22 acides aminés protéinogènes différents, qui sont à la base de la construction de toutes les protéines que l’on retrouve chez les organismes vivants.

Ces acides aminés comprennent le tryptophane, la méthionine, la lysine, la phénylalanine, la thréonine, la valine, la leucine, l’isoleucine, l’histidine, l’arginine, l’alanine, l’acide aspartique, l’asparagine, l’acide glutamique, la cystéine, la glutamine, la glycine, la proline, la sérine, la tyrosine, ainsi que l’ornithine et la citrulline. Ils jouent un rôle essentiel dans la distribution des nutriments dans notre organisme, contribuent aux fonctions de base des organes et sont cruciaux pour maintenir une bonne santé.

Chaque acide aminé émet une onde caractéristique, appelée “onde d’échelle” en physique quantique, car elle est liée à différentes échelles d’observation. Le Dr Joël Sternheimer, physicien, a fait la découverte de ces ondes d’échelle en se penchant sur les particules élémentaires, puis il a étendu ses théories aux acides aminés. Ces ondes d’échelle participent à l’organisation de la matière et en assurent la cohérence. Une observation intrigante est que ces ondes d’échelle suivent les mêmes intervalles que ceux de la gamme tempérée, qui est basée sur une loi mathématique divisant une octave en 12 parties égales.

Lorsque les acides aminés se regroupent pour former une protéine, ils émettent des signaux ondulatoires, des ondes dont la fréquence vibratoire peut être calculée en utilisant les principes de la physique quantique. Bien que ces notes ne soient pas audibles par l’oreille humaine, leur rapport est similaire à celui utilisé en musique. Lorsque de nombreuses dizaines ou centaines d’acides aminés s’assemblent pour former une protéine, cela crée de véritables mélodies. C’est à partir de ces mélodies que sont composées les protéodies.

Grâce à la connaissance des fréquences de chaque acide aminé, il est possible d’attribuer une note à chacun d’entre eux par un calcul mathématique. L’ordre d’assemblage de ces acides aminés détermine la séquence des notes, tandis que les intervalles de temps entre leur assemblage définissent la durée de chaque note. C’est ainsi que naissent les protéodies, des compositions musicales basées sur la structure moléculaire des protéines.

 

Tableau avec les rapports masse/fréquence qui déterminent les notes correspondantes aux acides aminés.

Les protéodies

Les protéodies sont des compositions musicales basées sur les ondes d’échelle observées lors de la synthèse des protéines. Elles agissent sur les protéines par “effet miroir” et “loi de la résonance”.

En d’autres termes, les protéodies sont spécifiquement adaptées à certaines protéines, agissant comme si elles étaient reconnues par ces protéines. Il est important de noter que les protéines ayant des fonctions similaires peuvent varier d’une espèce à l’autre, ce qui nécessite la création de protéodies spécifiques à un besoin particulier et à la protéine cible.

Contrairement aux sons et à la musique qui agissent mécaniquement par le biais de l’ouïe, les protéodies agissent par la vibration, qui est physiquement perceptible par la protéine cible. Cette vibration se propage à travers l’eau présente dans les cellules jusqu’à atteindre la protéine. C’est un principe similaire à la façon dont une personne sourde peut percevoir la musique de l’intérieur de son corps grâce aux vibrations dans ses tissus et ses os.

Ainsi, les protéodies agissent par résonance, stimulant la synthèse des protéines dans un organisme pour améliorer ses caractéristiques et booster ses processus internes. De même, en composant des protéodies avec des caractéristiques inverses, on peut inhiber la synthèse d’une protéine et réduire certaines de ses fonctions physiologiques.

La modulation de l’action des protéodies dépend de plusieurs paramètres, tels que la répétition, le volume, l’intensité ou le timbre. Il est donc possible de doser l’action d’une protéodie en fonction de la manière dont la composition musicale est jouée, similaire à une posologie pour obtenir l’effet souhaité. Par exemple, une protéodie spécifique, comme celle du Cytochrome oxydase, peut stimuler cette protéine lorsqu’elle est jouée normalement, tandis que sa version jouée à l’envers, en commençant par la fin, peut au contraire inhiber la protéine. 

Il est intéressant de noter que la partition de protéodie présente des similitudes frappantes avec l’écriture musicale de Jean Sébastien Bach, évoquant une sonate pour alto ou violon. Cette observation rappelle les travaux de Dorothy Retallack, une étudiante au Temple Beul College de Denver, qui a constaté que la musique indienne et la musique de Bach stimulaient considérablement la croissance des plantes. Lors de ses expériences, elle a observé que les fleurs étaient plus abondantes et que les tiges poussaient même en direction des haut-parleurs.

De plus, certaines protéodies peuvent ressembler davantage aux chants d’oiseaux. Il est à noter que le chant des oiseaux dans les haies, les arbres et les jardins contribue à renforcer la croissance des plantes. La période de croissance la plus vigoureuse des plantes se produit le matin, lorsque les oiseaux chantent, car c’est à ce moment que les stomates des plantes sont le plus ouverts. Cette observation souligne une fois de plus la perfection et la magie de la nature dans ses interactions complexes.

Applications et perspectives

Les protéodies ont commencé leur aventure par des expériences passionnantes sur les végétaux et les plantes. Les résultats ont été exceptionnels. En diffusant les protéodies pendant quelques minutes par jour, les plantes exposées se sont révélées plus productives et en meilleure santé que leurs homologues non exposées. Cette découverte a ouvert la voie à une utilisation prometteuse des protéodies dans l’agriculture.

Mais ce n’est pas tout, car les protéodies ont également un effet sur les virus, ces entités composées d’une molécule d’acide nucléique entourée de protéines. En adaptant les protéodies en conséquence, il est possible d’agir directement sur la virulence des virus, limitant ainsi l’impact des maladies qu’ils propagent.

Ces expérimentations ont été menées dans divers pays, chacun avec ses propres conditions climatiques, comme la France, la Suisse et le Sénégal, sur une grande variété d’espèces, des tomates à la vigne en passant par les haricots verts. Cette innovation a été brevetée sous le nom de “procédé de régulation épigénétique de la synthèse protéique”. Aujourd’hui, des agronomes et des agriculteurs adoptent cette méthode qui renforce et stimule la croissance des végétaux, tout en évitant les traitements chimiques et en préservant l’environnement.

Les protéodies ouvrent un nouveau chapitre dans le domaine de l’agriculture, offrant la possibilité d’améliorer la santé des plantes tout en réduisant l’utilisation de produits phytosanitaires et de produits chimiques nocifs pour les écosystèmes et les individus.

Actuellement, les protéodies sont utilisées avec succès dans les vignobles en Alsace, Champagne et dans le Bordelais pour lutter contre certaines maladies, mais aussi dans les processus de vinification. Leur utilisation pratique s’étend au maraîchage, aux légumes, et couvre des domaines variés tels que la précocité, la résistance, la conservation et la consommation d’eau.

Les applications des protéodies se diversifient également dans l’élevage, visant à réduire les maladies, améliorer la qualité du lait, favoriser la fermentation pour une production accrue de yaourts et même réduire le stress des animaux. D’autres domaines bénéficient également de cette innovation, de l’aquaculture à la conchyliculture, en passant par l’arboriculture, l’agro-alimentaire, le traitement des déchets et la dépollution.

Au-delà de leur utilisation dans l’agriculture, les protéodies présentent un intérêt potentiel pour la santé humaine. Il est actuellement recommandé de ne pas s’exposer aux protéodies par mesure de précaution dans le domaine de l’agriculture. Cependant, il est possible que les protéodies, adressées spécifiquement à l’homme, deviennent une source de santé et de bien-être dans les années à venir.

À titre d’exemple, une protéodie a été créée pour lutter contre les caries dentaires en limitant le développement de la bactérie responsable. Cependant, elle n’est plus librement disponible à l’écoute, car elle agit sur une protéine similaire à d’autres protéines présentes chez l’homme et peut avoir des effets indésirables chez les personnes sensibles. En fin de compte, il est envisageable que, dans un avenir proche, les protéodies deviennent une forme de traitement sonore bénéfique pour l’homme.

L’inventeur des protéodies, Joël Sternheimer, insiste sur le fait que leur objectif n’est pas de remplacer les médicaments en détruisant virus et bactéries, mais plutôt de créer un dialogue avec le vivant. Ses recherches sur les cellules cancéreuses ont montré qu’elles peuvent favoriser la réversion des cellules tumorales vers un état normal plutôt que de les détruire.

Ainsi, il existe un immense espoir que les protéodies puissent un jour être utilisées pour soigner les êtres humains, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives dans le domaine de la médecine et de la santé.

Joël Sternheimer

Joël Sternheimer est un chercheur singulier dont le parcours allie la musique et la science d’une manière fascinante. Né dans l’Ain en 1943, il a étudié à Lyon, où il a obtenu son doctorat en physique théorique en 1966. Dès son plus jeune âge, il a été attiré par les mathématiques et la musique, et il est devenu célèbre en tant qu’artiste sous le pseudonyme “Evariste,” en hommage au mathématicien du 19e siècle, Evariste Galois.

Joël Sternheimer a connu le succès en tant qu’artiste avec des disques à la fois humoristiques et imprégnés de l’esprit révolutionnaire des années 60. Cependant, il a abandonné sa carrière musicale en 1975 pour se consacrer à ses recherches scientifiques. Il a continué à combiner son amour pour la musique avec sa passion pour la science, travaillant comme assistant à l’université de Princeton puis en tant que chercheur indépendant. Les droits d’auteur qu’il a perçus de sa carrière musicale lui ont permis de financer ses recherches de manière autonome.

Au fil des ans, Joël Sternheimer a déposé plusieurs brevets liés à ses travaux. Il a également exercé diverses fonctions, de conseiller scientifique à la Cité des Sciences de La Villette à directeur de séminaires au Collège International de Philosophie et à l’Université Européenne de la Recherche à Paris. Il est devenu le président fondateur de l’Association des Chercheurs Indépendants.

Sa contribution à la science repose sur une perspective holistique qui considère que l’observateur fait partie intégrante de ce qu’il observe, établissant ainsi des liens d’influence mutuelle. Cette approche plus large a conduit à sa découverte des “ondes d’échelles,” une avancée majeure dans la compréhension des phénomènes physiques et de la nature.

Joël Sternheimer nous invite à réfléchir sur notre relation avec le monde et la nature, en mettant en lumière l’idée que nous pouvons établir un dialogue harmonieux avec les êtres vivants de l’infiniment petit, du monde végétal et animal, en utilisant un langage vibratoire universel, tel que les protéodies. Son travail ouvre ainsi de nouvelles perspectives pour une compréhension plus profonde du vivant et des interrelations qui animent le monde naturel.

Joël Sternheimer a également fait une découverte étonnante lors de ses recherches sur les protéodies. Il a remarqué que certaines de nos chansons populaires comportaient des séquences de notes qui agissent comme des protéodies, comme si cette connaissance était inscrite dans la sagesse populaire, bien que non conceptualisée.

Par exemple, le thème du “Canon de Pachelbel” correspond à une protéodie antistress, tandis que la chanson “Aimer” de la comédie musicale Roméo et Juliette contient une protéodie qui favorise la fertilité. Même les cinq notes de “O Sole Mio,” un célèbre chant napolitain, correspondent à la stimulation d’une protéine qui permet d’accumuler de l’énergie dans les cellules du tournesol.

La société Génodics a adopté cette approche novatrice et non invasive dans divers domaines, notamment la viticulture, le maraîchage, l’arboriculture, l’ostréiculture et l’élevage, en développant des applications du “procédé génodique” découvert et breveté par le physicien Joël Sternheimer. À la fin de l’année 2017, Génodics avait réalisé plus de 600 applications de ce procédé chaque année en France et dans des pays voisins. Vous pouvez en savoir plus sur leur travail sur leur site web : https://genodics.com/

Conférence et reportage sur les protéodies

Professeur Marc Henri sur la musique, les protéodies et la physique quantique :

 

L’utilisation des protéodies : Musique, ça pousse !

Une version pour quatuor à cordes du Canon de Pachelbel, construit sur 8 acides aminés, aux propriétés anti stress…

Une des plus belles versions du Canon de Pachelbel : à la guitare par Per-Olov Kindgren

En attendant de dévoiler tous les mystères entourant la synthèse des protéines et d’explorer ses applications spécifiques pour l’humanité, continuons à savourer la musique et à expérimenter le bien-être et les émotions qu’elle peut susciter.

Source :

  • https://desmusiquespourguerir.com/les-proteodies-la-musique-du-vivant/
  • http://ageac.org/fr/nouvelles/la-revolution-de-la-musique-a-432-hertz-et-l-adn/
  • https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/etonnant/article/432-hz-la-frequence-du-coeur-170664
  • http://terrevivante.e-monsite.com/pages/les-ondes-electromagnetiques.html
  • https://www.bioaddict.fr/article/quand-la-musique-remplace-les-pesticides-a5851p1.html
  • https://www.psychologies.com/Planete/Les-animaux-et-nous/Articles-et-Dossiers/Chats-chiens-vaches-chevaux-La-musique-qu-ils-aiment/13La-musique-pour-chevaux-reste-a-inventer
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3 Commentaires sur “Canon de Pachelbel 432 Hz : Booste vos 8 acides aminés !

  1. Kervella says:

    Magnifiques avancées pour l’homme et la Nature , nous avons vraiment beaucoup à apprendre d’elle ! Pour faire notre vrai travail d’homme sur la terre !

  2. thierry patet says:

    Bonjour ou peut r ecouter et recevoir des musiques en 432 hertz autre que sur youtube ! YT n’étant pas une source très sure . merci au plaisir de lire votre réponse

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