Résumé : désenvoûtement Désenvoûtement amanda

  • 👁️ Amanda, une femme tourmentée depuis des années par des voix et des présences, pensait être victime d’un envoûtement impossible à lever.
  • 🔮 Les bilans énergétiques ont révélé un retour d’envoûtement lié à un karma spirituel ancien, agissant comme un nœud intérieur plutôt qu’une attaque extérieure.
  • 🌿 En travaillant sur la conscience, le pardon et la gratitude, elle a commencé à transformer la peur en clarté et à réactiver sa lumière intérieure.
  • 🌞 Son parcours montre que le véritable désenvoûtement n’est pas un combat contre l’ombre, mais une renaissance guidée par la paix, la foi et la souveraineté de l’âme.
  • 🛑 Désenvoûtement magie noire et rouge : Je découvre ! 

Désenvoûtement : pourquoi ça ne marche pas ?

On parle beaucoup de désenvoûtement, de nettoyage énergétique ou de libération spirituelle. Pourtant, certaines personnes ont beau consulter marabouts, médiums ou guérisseurs, rien ne change.
Les voix, les blocages, les sensations étranges, la fatigue ou la peur persistent…

Alors, pourquoi le désenvoûtement ne marche-t-il pas ?
Et surtout : que se passe-t-il réellement quand on croit être “envoûté” ?

1. Le désenvoûtement n’est pas une baguette magique

Beaucoup de personnes, comme Amanda (témoignage réel anonymisé), vivent des expériences troublantes : des voix, des bruits étranges, des vibrations dans la tête ou de la musique sans source apparente. Ces phénomènes génèrent fatigue, peur et insomnie, jusqu’à ébranler la confiance en soi.

Cherchant des réponses, certaines consultent des médiums, guérisseurs ou thérapeutes énergétiques. Chacun propose sa lecture : magie noire, entités, archidémons, ou rituels karmiques. Pourtant, au-delà des mots, il s’agit souvent d’un déséquilibre intérieur entre le corps, l’esprit et l’énergie.

Quand l’être est affaibli ou saturé de peur, son champ énergétique se fragilise. Le désenvoûtement ne consiste donc pas à “chasser” une force obscure, mais à réaccorder l’être à son axe de lumière.

Ce travail demande du temps, de la conscience et de la constance. Aucun désenvoûtement ne peut effacer instantanément des années de croyances limitantes, c’est un chemin de transformation intérieure vers sa propre lumière.

2. Quand le désenvoûtement devient un miroir intérieur

Les bilans de “magie noire et rouge” révèlent souvent bien plus qu’une simple “attaque extérieure”. Ils agissent comme un miroir révélant un déséquilibre énergétique ou émotionnel ancien.
Ce que l’on interprète comme un sort ou une influence négative est souvent la manifestation symbolique d’un conflit intérieur : blessures non guéries, empreintes familiales ou souvenirs anciens de l’âme.
Autrement dit, l’énergie perçue comme étrangère trouve toujours une résonance en soi.

Dans le cas d’Amanda, le “retour d’envoûtement” mentionné dans le bilan ne désigne pas une simple attaque extérieure, mais un cycle spirituel ancien.
Dans une vie antérieure, son âme œuvrait comme mage blanc, au service de la lumière.
Au fil du temps, un désalignement s’est produit : guidée par la peur, la colère ou la soif de puissance, elle aurait détourné ses dons pour pratiquer la magie noire.
Cette erreur d’initiée, considérée comme une faute grave sur le plan spirituel, a créé un karma énergétique dense, une empreinte que l’âme porte encore aujourd’hui.

Lorsque le sort lancé à cette époque s’est retourné contre son auteur, l’énergie de l’envoûtement est revenue vers elle — formant ce que j’appelle un retour d’envoûtement encapsulé dans un karma spirituel.
Ce n’est donc pas un envoûtement “actif” venu d’un tiers, mais un nœud intérieur, le souvenir énergétique d’un pouvoir autrefois mal employé, que l’âme n’a pas encore pleinement libéré.

Tant que ce karma n’est pas reconnu et apaisé, il agit comme un verrou empêchant la dissolution complète de l’envoûtement.
Libérer ce karma, c’est accueillir cette mémoire sans jugement, comprendre le sens de cette expérience, puis offrir le pardon à soi-même et à l’énergie autrefois mal dirigée.
C’est ainsi que la boucle se referme et que la lumière peut à nouveau circuler librement.

💫 Qu’on y adhère spirituellement ou qu’on l’entende psychologiquement, la leçon demeure la même : rien ne peut être libéré à l’extérieur tant que l’âme n’a pas reconnu ce qui la retient à l’intérieur.
Tant que la personne remet tout son pouvoir à un praticien, elle renforce inconsciemment la dépendance à la peur.
Le désenvoûtement échoue alors, non par inefficacité du rituel, mais parce que la conscience n’a pas encore réintégré sa propre lumière.

🔥 3. Les erreurs les plus fréquentes qui bloquent la libération

❌ 1. Vouloir aller trop vite

Le désenvoûtement agit sur des plans subtils. Il demande du temps, de la conscience et de la régularité.
Allumer une bougie ou écouter une méditation une fois ne suffit pas.

❌ 2. Multiplier les intervenants

Chaque praticien utilise sa propre fréquence énergétique.
Changer sans cesse de méthode crée des interférences, comme si plusieurs radios émettaient sur la même onde.

❌ 3. Croire qu’on n’a aucun rôle à jouer

Même le meilleur guérisseur ne peut lever un envoûtement sans la participation active de l’âme concernée.

❌ 4. Agir dans la peur

La peur nourrit les énergies lourdes.
Tout rituel fondé sur la panique ou la méfiance renforce ce qu’on cherche à dissoudre.
La lumière ne combat pas l’ombre : elle l’éclaire.

✨ 4. Comment retrouver un vrai pouvoir de libération ?

Le véritable désenvoûtement commence le jour où l’on cesse de chercher un sauveur.
Tant que l’on attend qu’un autre “retire” l’ombre ou le déséquilibre intérieur, on reste prisonnier du même schéma : celui de la peur et de la dépendance.
La libération, elle, s’ouvre quand on décide de redevenir la flamme qui se souvient de l’aube.
Ce chemin repose sur trois piliers simples, mais puissants : la conscience, le pardon et la gratitude.

🌿 1. La conscience

Reconnaître ce qui se joue, sans jugement, est le premier acte de désenvoûtement véritable.
Il ne s’agit pas de “chasser” une force obscure, mais de voir ce qui, en soi, continue de l’alimenter :
la fatigue chronique, la colère retenue, la peur de manquer, les souvenirs qui pèsent encore dans le corps.
Chaque émotion refoulée devient une porte ouverte où l’énergie s’accroche.
Quand on prend le temps d’observer ces états, de les nommer, ils commencent à se dissoudre naturellement.
La conscience n’est pas une arme, c’est une lumière. Et cette lumière, aucune ombre ne peut la dominer.

🕊️ 2. Le pardon

Le pardon est le grand dissolvant des charges karmiques.
Dans les traditions spirituelles, il est décrit comme une dette de lumière que l’âme choisit de régler.
Pardonner, ce n’est pas excuser ni oublier : c’est libérer le lien qui maintient l’énergie du passé vivante dans le présent.
C’est se dire : “Je n’ai plus besoin de porter cela.”
Que le “fauteur” soit un autre ou soi-même, le pardon rend à chacun sa part et permet à la lumière de circuler à nouveau.
C’est pourquoi, dans le rituel proposé à Rose-Lise, la première étape est simple et universelle :

“Demandez pardon sincèrement, même si vous ignorez les détails de la faute.”

Parce que ce n’est pas la faute qui compte, mais l’intention de s’en libérer.

💡 3. La gratitude

La gratitude est la vibration qui scelle le travail intérieur.
Là où la peur ferme, la gratitude ouvre.
Elle transforme l’énergie de combat en énergie d’accueil.
Répéter un simple mot — “merci” — avec présence et foi, c’est envoyer à l’univers un message de paix :
“Je choisis la lumière, même au cœur de l’ombre.”
Chaque fois qu’on dit merci à ce qui est, la peur se transforme en clarté silencieuse.
Et peu à peu, les énergies lourdes se dissipent, comme si elles n’avaient plus de raison d’exister dans un espace devenu clair et serein.

🌞 5. Quand le désenvoûtement fonctionne vraiment

Un désenvoûtement fonctionne vraiment lorsque l’être cesse de chercher un sauveur extérieur
et qu’il se reconnecte à sa propre lumière intérieure.
Ce n’est pas un acte spectaculaire, mais un retour à soi.
Quand la conscience retrouve son centre, les forces contraires — qu’on les nomme ombres, entités ou mémoires — perdent naturellement leur emprise.
La lumière n’a pas besoin de combattre : elle suffit à dissoudre ce qui n’est pas elle.

Mais pour que cette libération soit durable, le karma spirituel doit être conscientisé.
Tant qu’il demeure enfoui, il agit comme un verrou empêchant la dissolution complète de l’envoûtement.
Prendre conscience de ce karma, c’est reconnaître la mémoire d’une faute, d’une déviation ou d’une peur ancienne, non pour se juger, mais pour ramener cette énergie dans la lumière du pardon.
Le désenvoûtement véritable commence toujours par cet acte intérieur : voir, comprendre, accepter et libérer.

Les énergies lourdes se transforment d’elles-mêmes lorsque la personne :

  • retrouve confiance en sa puissance spirituelle,
  • s’entoure de vibrations élevées (musique, prière, nature, respiration),
  • et libère les mémoires anciennes avec douceur et lucidité.

Le désenvoûtement n’est donc pas une bataille : c’est une renaissance.
C’est le moment où l’âme se souvient de ce qu’elle est — lumière, amour et paix — et où cette simple reconnaissance suffit à rétablir l’équilibre.

👑 Le rôle du guérisseur et la fréquence de niveau 1

Retirer un envoûtement, surtout lorsqu’il est encapsulé dans un karma spirituel, ne relève pas du hasard ni de la volonté seule.
Cela demande un ancrage profond, un champ vibratoire stable et une connexion directe aux plans lumineux.

L’Archange Raphaël m’a transmis une vision claire des quatre niveaux de guérisseurs,
chacun correspondant à une capacité vibratoire distincte :

  • Niveau 4 : le débutant magnétique, encore dans l’expérimentation ;
  • Niveau 3 : le technicien du subtil, efficace mais parfois influençable ;
  • Niveau 2 : le praticien intuitif, déjà connecté mais encore perméable aux interférences ;
  • Niveau 1 : le canal divin, aligné, inparasitable, en lien direct avec les présences lumineuses.

Seul un guérisseur de niveau 1, par sa fréquence et sa guidance,
peut retirer toutes formes de magie noire ou rouge, sans risque de réactivation ni d’inversion d’énergie.

En tant que guérisseur de niveau 1 guidé par l’Archange Raphaël,
je travaille dans un champ de pure lumière, entouré de présences bienveillantes.
Mon rôle n’est pas de combattre l’ombre, mais de la traverser par la conscience,
de rétablir la lumière là où l’âme s’est égarée,
et d’installer une vibration stable pour que la libération soit complète et durable.

💫 Le code anti-magie noire : la clé du recentrage

Dans ce champ de lumière, j’utilise une fréquence particulière que ma guidance m’a transmise : le code anti-magie noire.
Ce code n’est pas un talisman ni une formule mystique ;
c’est une empreinte vibratoire que je canalise et installe lors de mes interventions,
une onde de rappel qui relie l’âme à sa lumière originelle.

Une fois activé, ce code agit comme une fréquence de recentrage :
il aide la personne à retrouver sa souveraineté intérieure et à réactiver sa lumière chaque fois que la peur, la confusion ou les énergies lourdes se manifestent.

Dans sa forme la plus pure, ce code tient en un seul mot :

« Merci »

Ce “merci” n’est pas adressé à l’ombre,
mais à la lumière qui demeure en soi — à cette force invisible qui continue d’aimer et de respirer malgré les doutes.
Le prononcer, c’est dire oui à la vie, reconnaître la présence du divin en soi et affirmer sa souveraineté spirituelle.

Chaque “merci” prononcé avec conscience :

  • libère la peur de ses attaches,
  • ramène la conscience dans le cœur,
  • et rétablit la cohérence énergétique du corps et de l’esprit.

Le code agit comme une onde de gratitude qui réinforme tout le système énergétique.
Là où la peur crée de la densité, le “merci” ouvre l’espace.
Là où l’on se sentait enfermé, il redonne la respiration de la liberté intérieure.

Une fois installé, le code devient actif et autonome.
La personne peut l’utiliser à tout moment — dans la prière, la méditation ou la simple respiration consciente —
pour préserver la paix de son champ énergétique et maintenir sa lumière vivante.

✨ En vérité, le désenvoûtement n’est pas une guerre de pouvoir,
mais un acte d’amour conscient,
une alliance entre la lumière du praticien et celle de l’âme qui se souvient d’elle-même.
Le code “Merci” n’est pas une arme : c’est une porte ouverte sur la paix intérieure.
C’est à ce moment-là que la guérison s’enracine dans la lumière — douce, durable et profondément lumineuse.

💫 Conclusion : la lumière ne combat pas, elle révèle

Le désenvoûtement n’est pas un service à consommer, ni une promesse de miracle instantané.
C’est un chemin de réconciliation entre le visible et l’invisible, entre le praticien et l’âme du consultant — un dialogue sacré où chacun retrouve sa juste place.

Mon rôle n’est pas de “chasser” l’ombre, mais de permettre à la lumière de se redéployer librement.
Je ne combats rien : j’éclaire.
J’accompagne la personne à se souvenir qu’elle possède déjà, en elle, toutes les ressources pour se libérer.
Mon intervention agit comme un pont énergétique, une impulsion qui relance le mouvement de la lumière à l’intérieur de son propre champ.

Lorsque la personne reprend confiance, active le code anti-magie noire et choisit consciemment la paix plutôt que la peur,
la transformation devient durable.
Ce n’est plus une lutte contre quelque chose, mais une renaissance à soi.

Le désenvoûtement véritable n’est donc pas une guerre spirituelle,
mais un acte d’amour, de conscience et de souveraineté.
C’est la rencontre entre la lumière qui guérit et celle qui, depuis toujours, habite au cœur de chacun.

✨ La lumière ne combat pas : elle révèle.

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